D’aucuns peuvent trouver le Festival de la Bande Dessinée d’Angoulême trop propre et policé, une sorte de réunion de l’establishment où les seules étincelles qu’on peut observer sont celles que font les yeux des comptables des éditeurs récompensés.
Ces mauvaises langues n’ont simplement pas les bonnes adresses. Ce samedi 28 janvier, les initiés ne sont pas passés à côté de "La Nuit de la rondelle" organisée par Les Requins Marteaux. Une petite sauterie qui, comme son nom l’indique, était frappée du sceau de l’irrévérence propre à la maison d’édition indépendante responsable coupable de la sulfureuse collection "BD Cul".
Seuls les majeurs évidemment avaient le droit de se rendre dans la bien nommée "rue du sauvage" !
FF
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