Franck Bondoux, le directeur du FIBD d’Angoulême, ne s’inquiète pas trop des répercutions du climat économique qui a connu une forte crispation lors du dernier trimestre 2008, sur l’édition 2009.
Il explique au journal Sud-Ouest que le Festival vit en « osmose » avec le marché de la BD qui a été peu sensible à la crise financière. Une grande partie du programme est établi des mois avant la divulgation de la programmation. L’adaptation du FIBD face à la crise est donc très marginale, confie Franck Bondoux.
Par contre, il envisage à la création de deux plans pour l’édition 2010. Une partie fixe, qui serait les bases du festival, et une autre malléable selon les tendances économiques. Celle-ci pourrait être abandonnée en cas d’environnement économique peu favorable.
NA
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