Japan Expo s’adresse aussi (et surtout ?) aux enfants, aux plus petits. On a pu le constater cette année avec la place dévolue aux mascottes. Celles-ci étaient présentes sur diverses scènes de la convention et circulant dans les allées de l’espace Wabi Sabi (celui des arts et traditions du Japon).
Des mascottes qui représentent des villes ou des départements japonais, conçues pour être kawai (qui veut dire "mignon") au possible et auxquels on invente de petites histoires pour leur façonner une personnalité.
Ainsi de Mikke-chan, mascotte du quartier de Kuzuha dans la ville de Hirakata. Danseuse et secouriste qui assura un spectacle tirant du côté du ballet classique (!), et grâce à qui on apprit à dire merci dans le dialecte d’Osaka. Ou de Tochisuke, dont l’allure évoque un bâtiment, venu lui de Tochigi et qui proposa un jeu de mime improbable aux enfants autours des spécialités de la ville.
AP
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