En famille, entre amis et collègues, en vacances, dans les festivals BD : Trondheim ausculte tous les pans de sa vie depuis sept volumes. Alternant vision critique du monde extérieur et pensées intimes, l’auteur en profite pour livrer de jolies images, paysages naturels ou urbains, au milieu de scènes désormais familières, en couple ou entre dessinateurs.
Dans ce tome 7, on passe du temps en Écosse, un peu au Québec et en Suisse, et on retourne régulièrement chez l’auteur, qui continue à admirer les surprises de son propre environnement. Parfois militant (écolo,notamment), parfois angoissé (la maladie, la mort), Trondheim n’oublie pas de célébrer son harmonie conjugale, pudiques déclarations à sa moitié.
Pudeur toujours à l’évocation -brève- de l’attentat de janvier contre Charlie Hebdo, avec une part de culpabilité, comme pour tout travail de deuil...
DT
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Chronique du volume précédent : Deux ou trois mois d’éternité (les Petits Riens de Lewis Trondheim T.6)
et aussi :
Les Petits Riens de Lewis Trondheim - T2 : Le Syndrome du prisonnier
Les Petits Riens de Lewis Trondheim - T1 : la malédiction du parapluie
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