Seulement, lors de son entrée au lycée, Jo Pae va devoir côtoyer deux autres nouveaux élèves tout aussi peu fréquentables : Ho Rah, jeune décoloré taekwondoka, et Han Ryu, adepte du piercing (rappelons qu’en Asie, les cheveux décolorés ou le piercing, sont synonymes des pires fréquentations) et démon psychopathe à ces heures.
Autant dire que la rentrée des classes va être mouvementée pour ces jeunes gens...
High School est l’archétype de la BD asiatique de « bad boys » : des histoires emplies de voyous au grand cœur, de bastons violentes, d’amitié virile et d’humour lourdingue. Dans la même famille, on trouve des équivalents dans les GTO (de Toru Fujisawa) et autre manga de genre.
Niveau technique de dessin, on sent aussi que ce manhwa (coréen) est très influencé par le style japonais, et on y retrouve les mêmes codes graphiques, type de décors, découpage, etc.
High School est une bande dessinée sans prétention, avec une narration et une histoire des plus classiques mais qui s’avère être un véritable passe temps « sans prise de tête ». Avis aux amateurs...
Snith Nothprasa
La tête dans les images
Radio Campus Bordeaux 88.1 FM
(par Anh Hoà Truong)
Cet article reste la propriété de son auteur et ne peut être reproduit sans son autorisation.