Histoires de détectives - Collectif Disney - Glénat

Le marché francophone est vraiment bizarre... ce genre de production est généralement en vente dans le reste de l’Europe sous couverture souple, même prix (de 6 à 9 euros) mais pour environ 500 pages mensuelles. Le marché francais semble souffrir d’un certain snobisme. On parle ici de bd de grande consommation (et souvent divertissantes- pas toujours toutefois). Dans ce cas c’est comme servir un double-cheeseburger dans un mouchoir de soie. Quelqu’un en est après votre porte-monnaie mesdames-messieurs...

Répondre à ce message

• Répondu par Cassidy le 12 mai 2013 à  01:52 :
  

  http://www.youtube.com/watch?v=PmILOL55xP0

  Who’s the leader of the club that’s made for you and me
  M-I-C-K-E-Y M-O-U-S-E
  Hey there, Hi there, Ho there your as welcome as can be
  M-I-C-K-E-Y M-O-U-S-E
  Mickey Mouse ! (Donald Duck !)
  Mickey Mouse ! (Donald Duck !)
  Forever let us hold our banners high
  High, high, high

  C’est tout c’que j’ai à dire !

  Répondre à ce message

• Répondu par powerduck le 12 mai 2013 à  13:31 :
  

  Je suis plutôt d’accord, c’est vrai qu’en France les histoires Mickey & Co sont quelque peu sous exploitées, surtout quand tu compares avec l’étranger. Un Mickey Parade tous les deux mois avec au moins une réédition, un Super Picsou Géant tous les deux mois avec aussi des rééditions, le tout à 4,30€ chaque numéro... Il y aurait moyen de mieux remplir les librairies et/ou kiosques en France.

  Bref je ne sais pas quoi dire ou penser.

  Répondre à ce message

• Répondu par Alex le 12 mai 2013 à  19:13 :
  

  L’édition s’adresse aux plus jeunes. On ne trouvera pas ici de mention d’auteur...

  Il ne faut pas y voir là toutefois une relation de cause à effet. Les publications Egmont par exemple (présentes dans plus de 20 pays européens)- et partenaires de Disney- font figurer le nom du scénariste et du dessinateur sous chaque histoire. Et il s’agit de publications pocket, 500 pages. C’est le moindre des respects pour les artistes et les lecteurs. Enfant, j’aimais bien savoir qui avait dessiné quoi. J’avais bien entendu des favoris et connaitre leurs noms me permettait de m’orienter. Je l’ai écrit ailleurs : je suis très critique du travail fournit par Glénat sur l’univers Disney. Ce nouveau produit ne fait que réenforcer mes doutes : Glénat n’est pas le bon éditeur pour l’univers disneyen.

  Répondre à ce message