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Zep ("Une Histoire d’hommes", "Titeuf") : « C’est libérateur de ne pas être forcément drôle ! »

Par Didier Pasamonik (L’Agence BD) Charles-Louis Detournay le 3 septembre 2013                      Lien  
Zep parle de son dernier opus : "Une Histoire d''hommes", une histoire pas vraiment potache pour la rentrée. Mais à la veille des 20 ans de Titeuf, il n'en oublie pas pour autant son jeune héros transgressif. Examen des deux visages de ce nouveau Janus de la BD.

Avec ce nouvel album, vous abordez un récit plus réaliste ? Vous avez ressenti le besoin de traiter cette étape de la vie qui nous touche tous ?

Zep ("Une Histoire d'hommes", "Titeuf") : « C'est libérateur de ne pas être forcément drôle ! »
Une Histoire d’Hommes de Zep
Ed. Rue de Sèvres

C’est en effet un récit sur le deuil, donc qui mérite un dessin plus dur. Il n’y a pas de deuil dans mon entourage qui a déclenché ce récit. On met longtemps à devenir un auteur de bande dessinée, entre ses premières histoires à 12-14 ans et le moment où vous trouvez une réelle cohérence dans ce que vous réalisez. Vous mettez donc des années à développer un style en fonction de ce que vous vouliez raconter, mais vous vieillissez dans le même temps et d’autres sujets viennent à vous avec lesquels votre style ne convient plus forcément. Il faut donc parfois renoncer et je notais mes récits dans des cahiers sans que cela aille plus loin. Mais j’ai eu trop de mal d’abandonner cette histoire-ci. Le déclic a été les carnets de voyage que j’ai réalisés chez Gallimard, Carnets intimes. Je devais illustrer les dessins de quelques textes et j’avais envoyé à l’éditeur des petites idées qui me viennent lorsque je dessine et que je consigne dans ces carnets. Bien entendu, je n’ai soumis que mes textes drôles, où je m’en sortais sur une pirouette. Car je suis Zep, auteur comique : à mes yeux, je devais écrire des choses comiques.

C’est très dur de vous considérer seulement ainsi, vous brimez une part de vous-même ?

C’était mon sentiment de l’époque. Dans Titeuf, il y a des sujets plus graves, comme dans le dernier tome, mais il faut tout de même que l’on rigole. Dans Découpé en tranches, il y avait aussi des réflexions moins comiques, mais d’autres dessins venaient rattraper l’ensemble par une pirouette, et on continuait à se marrer. J’ai donc envoyé 20 petits textes issus de ces moments méditatifs lorsque je dessine. Dans ces 20 textes, 19 étaient drôles, et le dernier était plus douloureux. Et c’est celui-là que l’éditeur, Thierry Laroche, avait retenu, en m’expliquant qu’il l’appréciait la façon dont c’était écrit, le langage utilisé. Cela a été libérateur, car j’ai ressenti le droit d’écrire quelque chose qui n’est pas forcément drôle. Et j’ai donc écrit ce nouveau livre avec des thèmes plus ou moins légers. Dans mon entourage d’amis qui n’aime pas la bande dessinée d’humour, voire la bande dessinée tout court, l’accueil a également été positif, ce qui m’a donné le droit de continuer dans cette voie. J’ai souvent besoin qu’on m’aide un petit peu à me libérer. J’ai bien entendu adapté mon dessin. Et j’ai fait six mois de planches à blanc pour faire ressortir ce dessin. Et le résultat est dans les bacs...

Une Histoire d’Hommes de Zep
(c) Rue de Sèvres

Est-ce que le fait que vous ayiez créé un groupe musical aurait pu vous orienter vers la musique ? Vous auriez pu être une star de la scène ?

Il se trouve que je ne l’ai pas été, en tout cas. Je n’ai jamais vraiment fait de choix. Quand j’avais entre douze ans et quatorze ans, je dessinais beaucoup et j’ai commencé à jouer dans des groupes. J’avais évidemment envie d’être une rock-star et, très vite, on m’a dit : "Je vais publier ton dessin". Je suis donc allé là... J’ai continué à faire de la musique comme cela... J’ai donc eu la vie de ces mecs-là. J’ai joué dans plein de groupes et je continue à jouer avec des groupes, donc je connais cette ambiance, cette fraternité-là un peu particulière... Maintenant que je me connais mieux que lorsque j’avais douze ans, je sais que ma personnalité, c’est de faire des livres, ce n’est pas d’être un show-man qui chante devant des gens, j’ai horreur de ça.

C’est un livre de maturité ?

Je trouve que, franchement, quand je revois tous mes livres, ce sont des livres de maturité dans le sens que, lorsqu’ils sont sortis, ils étaient à maturité. Aujourd’hui, je serais incapable de refaire le Titeuf des débuts ou Happy Rock. Quand je les regarde aujourd’hui, je n’ai aucune honte, je suis bien avec ces livres, je les aime tels qu’ils sont. Après, je ne pense pas être arrivé à un degré de sagesse. Dans vingt ans, je serai loin de cela mais le titre dit tout : je raconte une histoire d’hommes après avoir raconté pendant vingt des histoires de petit garçon.

J’avais besoin de raconter ce que c’était que de devenir un homme, comment on devient un homme quand on a écouté du Rock. C’est une musique, quand tu l’écoutes d’une manière religieuse, qui te fait mourir à 27 ans. Au-delà, c’est assez compliqué à vivre. C’est comme des tables de la Loi où il manquerait plein de trucs : tu ne sais pas faire un métier, comment acheter une maison, comment s’engager dans la vie avec une partenaire, comment élever des enfants... Tu n’es pas sensé le faire. C’est une vie avec un mode d’emploi seulement pour l’adolescence. Ce qui est étrange, c’est qu’il y a des gens de 70 ans qui chantent ces chansons. Il y a donc une triche.

Est-ce qu’il n’y a pas, dans la bande dessinée comme dans le Rock, une part d’immaturité qui fait leur essence ?

Je ne crois pas. Tu peux faire du Rock mature, de la bande dessinée mature. C’est une évidence : Tardi n’est pas un adolescent boutonneux, Bilal non plus. Ce sont des gens qui racontent des choses de leur âge. C’est plutôt rassurant pour notre métier. Mais c’est vrai qu’il y a un côté potache, qui peut bloquer la vie. Il y a des choses de moi dans ce personnage, mais j’ai eu la chance de devenir un homme avant lui.

C’est un livre sur la difficulté de s’engager, de faire des choix. Tu as l’impression de rester un rebelle, mais c’est une "no-life", une attitude où tu n’avances pas. J’ai des copains pour qui cela s’est terminé tragiquement, jusqu’au suicide, parce qu’ils n’arrivent pas à dépasser cela. Ce livre est assez optimiste, même si ce qui débloque la situation est quelque chose, à la base, de tragique. La vie continue : on a la possibilité de se réinventer et de passer des étapes...

Zep en concert aux Rencontres Chaland de Nérac en octobre 2011.
Photo : D. Pasamonik (L’Agence BD)

Dans Titeuf aussi, vos thèmes sont plus subtils.

Je désire avant tout continuer à m’amuser avec Titeuf. Les incontournables doivent demeurer : le fait de parler de zizi, de sexualité et des filles par exemple. Mais dans le même temps, ces références sont devenues des classiques de Titeuf, et mise à part l’histoire introductrice du dernier album, j’ai levé le pied. Pour moi, le moteur de Titeuf est qu’il doit continuer à être transgressif ! Et c’est bien entendu de plus en plus compliqué, car il a déjà exploré pas mal de thématiques grinçantes à son niveau.

Pour autant, vous amenez bon nombre de nouveaux sujets avec la jeune réfugiée qui intègre la classe de Titeuf, Ramatou...

C’est aussi une nouvelle ambiance, plus douce et plus poétique. Tout d’un coup, il se passe quelque chose de positif pour Titeuf. La balade dans les nuages fait peut-être d’ailleurs penser à du Bidouille et Violette. Mais ce n’est pas nouveau, car j’ai toujours voulu glisser des choses poétiques, voire plus mélancoliques dans la série. D’ailleurs, pour moi, ces sculptures en crottes de nez font partie d’une poésie enfantine. Mais effectivement, la relation entre Titeuf et Nadia est une impasse, et je ressentais l’envie que Titeuf vive une relation plus positive que de se prendre une 251e baffe dans la gueule.

De fait, vous cassez pas mal de ’codes’ dans ce tome 13. Par exemple, le fait d’être délaissée apporte de l’humanité au personnage de Nadia. Avec plus de recul, vous touchez aussi à des thèmes plus larges comme la mondialisation, l’accueil des réfugiés, des massacres et bien d’autres. Tout en maintenant l’esprit de la série : s’adresser aux enfants et s’amuser !

Dans les tomes précédents, je me suis plus axé sur l’éveil à la sexualité et la puberté. Ces thèmes étaient burlesques et transgressifs à l’époque où j’ai réalisé ces albums. Les voix s’élevaient : Pour ou contre Titeuf ? Peut-on parler de sexe aux enfants ? Aujourd’hui, c’est devenu plus institutionnel. Et cette transgression est le moteur du personnage, car cela symbolise l’âge du personnage, à la porte de l’adolescence !

On s’approche pourtant de plus en plus de l’adolescence ?

Oui, mais je ne franchirai pas ce cap, car il ne m’intéresse pas avec ce personnage. Je suis intéressé exclusivement par le monde de l’enfance qu’il incarne.

C’est d’ailleurs ainsi que vous terminez ce tome 13, en plaçant un gag où vous ’rassurez’ le lecteur en lui disant que Titeuf reviendra pareil à lui-même par la suite...

Comme d’autres personnages de bande dessinée, c’est le paradoxe de Titeuf : il vieillit et accumule des expériences. Mais dans le même temps, il doit rester pareil à lui-même, sans gagner en sagesse. J’ai donc voulu montrer ces premiers moments amoureux qui restent ancrés en nous pour la vie, mais dans le même temps, lorsqu’on a dix ans, on ne passe pas ses après-midis avec son amoureuse ! On revient voir ses amis pour leur confier qu’on a une amoureuse, et cela s’arrête là. Je pourrais bien entendu faire évoluer le personnage, mais c’est alors plus le sujet de Lou !, qui sort de mon propos. Et je veux y demeurer car j’ai encore des choses à explorer. C’est pour cela que je clos le chapitre tout en ’rassurant’ le lecteur à la fin du tome 13.

Votre propos, vous l’avez également traduit en film. Comme dans le tome 12 où vous évoquiez la dépression du père, votre film donne autant le point de vue de Titeuf et des enfants, mais aussi celui des parents. Est-ce que la réussite du film vous donne l’envie d’en réaliser un second ?

... Je ne pense pas. On m’a proposé de faire un dessin animé. Cela m’avait toujours titillé, mais je ne suis jamais dit que cela m’arriverait. Lorsqu’on a commencé à en parler, je me suis donc laissé prendre au jeu, mais je voulais le faire par moi-même, car je ne voyais pas donner cette aventure à quelque d’autre, et que cela sorte de mes propres canevas.

Vous êtes beaucoup impliqué dans le film !

Oui, c’était deux ans de ma vie. J’ai trouvé cette expérience très intéressante. Mais dans le même temps, je me suis rendu compte que faire un film comportait tout un travail qui était aussi très éloigné de la bande dessinée, comme diriger des équipes, faire des réunions, valider des plans, établir et respecter des budgets, etc. J’ai bien entendu trouvé tout cela exaltant, car c’était nouveau pour moi, mais je ne ressens pas l’envie de repasser par ces étapes une seconde fois. À mon sens, ce ne sont pas des activités où j’ai le plus de talent. Je trouverais dès lors dommage de perdre du temps à cela alors que je pourrais faire des livres, ce qui demeure mon envie première.

Vous réalisez d’autres albums, des scénarios pour ChronoKids ou d’autres livres pour vous à côté de Titeuf. Est-ce que vous mélangez les plaisirs, en réalisant une planche de Titeuf entre deux autres activités ?

Au contraire, je réalise toujours un album du début jusqu’à la fin. Dans la pratique, effectivement, j’ai réalisé d’autres choses : en écrivant des ChronoKids, en scénarisant la moitié du Captain Biceps, ou l’album réaliste qui vient de sortir. Mais, je ne suis pas un auteur qui réalise sa planche de Titeuf par semaine et qui publie son album après 46 semaines. J’ai besoin de m’immerger et de rester dans son univers.

Au dernier festival d’Angoulême, Jacques Glénat vous a remis un prix honorifique pour fêter les records de vente de votre série. Quel est votre relation avec votre éditeur quand on réalise un best-seller ainsi ?

Je dois saluer Jacques Glénat, car il n’y a jamais eu de pression pour la sortie d’un nouvel album. Lorsqu’on se voit, il me demande sur quels projets je travaille, il s’intéresse. Bien entendu, parfois il me demande si l’année prochaine pourrait voir arriver un nouveau tome, mais il demeure très respectueux quelle que soit la réponse. Étant issu de la bande dessinée, il ressent peut-être plus la fragilité de cette étape de création. Et il a d’ailleurs travaillé avec des auteurs encore bien plus fragiles que moi, et il sait qu’il ne doit pas brusquer les choses.

Un album anniversaire sortira à 4000 exemplaires ce 23 octobre. En 96 pages, Zep revient sur 20 ans de souvenirs forts.

Êtes-vous un créateur en puissance, à qui les idées viennent tout le temps et naturellement ? Ou devez-vous vous mettre en condition pour vous en imprégner ?

Tout d’abord, je n’ai pas l’impression d’être moins créatif maintenant qu’à 25 ans. Mais c’est vrai que je suis moins productif, car j’ai moins de temps, et j’ai moins d’énergie également. À 25 ans, je dessinais deux albums par an, et je ne faisais pas 60 séances de dédicaces et 12 salons par an.

Avec le succès de Titeuf, vous avez aussi la possibilité d’être moins productif...

Je ne sais pas si c’est lié au succès, car je pense qu’on est vert pendant une période de sa vie, et dans une autre, on perd cette vitalité sans borne. En même temps, j’étais content de la naïveté et de l’instinct que j’ai eus à 25 ans, mais je dois avouer que tout cela n’était pas très réfléchi. Je ressentais une certaine ivresse, avec l’impression qu’un monde de l’enfance se construisait dans ma tête. Les histoires arrivaient toutes seules et tout me semblait cohérent. Mais je suis aussi quelqu’un qui a grandi en lisant des bandes dessinées, pour qui les héros sont des auteurs de bandes dessinées. Lorsque Yann m’a proposé de dessiner une histoire pour ses sales petits contes, j’étais super-flatté car il représentait un héros de mon adolescence, même si à l’arrivée, cette petite aventure n’était pas si nécessaire. Mais je me suis fait plaisir ! Pour autant, je pense que j’ai heureusement géré les choses, sans partir dans toutes les directions et me fourvoyer en dissipant mon énergie.

Cette interview est composée de deux entretiens réalisés par Charles-Louis Detournay et Didier Pasamonik

(par Didier Pasamonik (L’Agence BD))

(par Charles-Louis Detournay)

Cet article reste la propriété de son auteur et ne peut être reproduit sans son autorisation.

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Photo en médaillon : Zep au Festival d’Angoulême 2013 récompensés par Jacques Glénat pour le succès de sa série Titeuf - (c) CL Detournay

 
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9 Messages :
  • Une curiosité ce Zep comme complexé par son succès et ,qui passe son temps à s ’en excuser de toute les manières possibles ;oubliant qu’avec ces manières contrites-au sens premier et au sens religieux du terme- il s’ excuse de son incroyable talent.

    Pour le reste et il y a du reste : ben...Évitons d’en dire plus.

    Répondre à ce message

    • Répondu le 4 septembre 2013 à  21:45 :

      Il n’est pas du tout complexé (mais vous vous devez l’être si on lit bien vos diatribes), il ne veut pas se cantonner à une seule production, comme Morris ou Lucky Luke, il ne veut être enfermé à cause de son succès (comme Peyo avec les Schtroumpfs), il est et reste un artiste, un raconteur et il veut faire les livres qu’il a envie de faire. Il n’y a aucun complexe là-dessous et Zep assume très bien son succès avec Titeuf.

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      • Répondu par la plume occulte le 5 septembre 2013 à  13:02 :

        Zorro le vengeur avance masqué. Zéro le vendeur avance anonyme. Ça n’a l’air de rien comme ça mais ça compte !

        Comme ça ,entre nous, vous touchez combien sur chaque vente.Ça paye le mildiou ?

        Pauvre Zep qui comme Van Hamme croit avoir des amis.

        Pour le reste et il y a du reste:ben...évitons d’en dire plus.

        Répondre à ce message

        • Répondu par Réaliste le 5 septembre 2013 à  16:30 :

          C’est malheureux, mais maintenant en France, quand on a argent, succès et amis (sans oublier la jolie épouse), cela commence à être injuste, pour ne pas dire louche.

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        • Répondu par Manu le 5 septembre 2013 à  18:24 :

          Pourquoi cette haine envers Zep ? Le succès des autres vous rend malade ?

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          • Répondu par Tanatos le 5 septembre 2013 à  21:49 :

            La plume occulte serait-elle un auteur raté ?

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        • Répondu par Oncle Francois le 6 septembre 2013 à  12:09 :

          Vous savez Monsieur Occulte, la réussite de Zep n’est pas venue toute seule, mais après des années de dur travail de la part de son auteur , et de persévérance chez son éditeur Glénat. Le premier album fut imprimé en noir et blanc, à 2000 ou 5000 exemplaires.
          Personnellement, je ne collectionne pas cette série que je trouve un peu "jeune" à mon goût. Mais je ne nie pas ses qualités : elle est drôle et sympa, et s’adressant à un public jeune, permet de démystifier pas mal de thèmes importants, comme le sexe, par exemple. C’est un best-seller, si Zep éprouve le besoin et l’envie de faire autre chose, c’est tout à fait son droit, et cela veut dire qu’il refuse une carrière ronronnante !

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          • Répondu par la plume occulte le 6 septembre 2013 à  13:52 :

            Je n’ai jamais rien dit de tel cher Oncle,et ce n’est pas le sujet.Ne vous laissez pas distraire par les manœuvres de dilution.Le succès de Zep m’a toujours fait plaisir puisqu’il accompagne un incroyable talent.Et le bonhomme est éminemment sympathique.

            Pour le reste et il y a du reste:ben...évitons d’en dire plus.

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            • Répondu par Réso le 7 septembre 2013 à  13:59 :

              C’est fou comment une plume occulte peut se déballonner vite fait.

              Répondre à ce message

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