Un commentaire ?

Jeremiah sans Jeremiah : Hermann en état de grâce

3 novembre 2017
  • « Pour illustrer ce propos, le graphisme d’Hermann continue de séduire : un découpage ultra-cinématographique, le sang, le feu, les poursuites ponctuées de joutes verbales. »
    Hermann, c’est très bien. Mais je ne comprends pas ce que veut dire un découpage ultra-cinématographique en bande dessinée. Ses planches ne sont pas des storyboards pour le cinéma. Ses cadrages très photographiques et l’assemblage de ses cadrages dans une planche donnent des compositions originales et dynamiques. Mais si on ajoute les bulles et les contraintes formelles, dispositions des éléments dans une image et surtout passage (...)

Qui êtes-vous ?
Votre message (Modération a priori)

Derniers Commentaires