Soutenu par le découpage d’Emmanuel Moynot, François Ravard fait son entrée dans le cercle fermé des dessinateurs du "Détective qui met le mystère K.O.". Un pari tenu graphiquement, pour un récit un peu emmêlé mais qui respecte le style de Léo Malet.
Plus qu’une adaptation littéraire, Nestor Burma est devenu une vraie licence chez Casterman, une locomotive qui bénéficie maintenant d’une sortie (presque) annuelle, et dont on ne peut pas rater le lancement. Ceci explique que ce treizième titre annoncé (...)
François Ravard
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"Les Rats de Montsouris" : un nouveau dessinateur pour Nestor Burma
9 septembre 2020 Charles-Louis Detournay -
Chères Élites - Par François Ravard et James - Fluide Glacial
23 avril 2019 Thomas FIGUERESÀ la lecture de cet album, on rit, peut-être nerveusement, on ricane certainement, on se moque mais surtout, on prend conscience... Ravard et James mettent en évidence les moeurs de nos "élites" de façon pragmatique et drôle par le biais de la caricature.
Le quotidien Le Monde titrait le 21 avril dernier : " On les jalouse, on les envie, on les critique... Les riches, ces mal-aimés ". Si Ravard et James travaillaient au service web du Monde ils auraient probablement opté pour un titre d’une toute (...) -
La Faute aux Chinois - Par François Ravard & Aurélien Ducoudray - Futuropolis
22 juillet 2011 David TAUGISAncré dans l’actualité économique et dans une réalité sociale aussi dure que contemporaine, cet album pourrait évoquer Baru dans une forme rageuse de constat sans fioriture. Des personnages solides, marquants, viennent équilibrer certains rebondissements peu crédibles...
L’entreprise est la première agence matrimoniale. Réalité statistique. Rien d’étonnant donc dans l’idylle unissant l’ouvrier trucideur de poulets et la secrétaire timide. Suzanne et Louis se marient, une enfant naît, le boulot respire la (...) -
Le portrait - Deuxième partie - par François Ravard & Loïc Dauvillier - Carabas
12 juillet 2007 Marie MNous savions que l’argent ne fait pas le bonheur, Gogol , par l’entremise de Loïc Dauvillier, nous apprend qu’il ne fait pas non plus le talent.
Le héros de cette nouvelle Tcharkov, peintre russe au style réaliste, fige ses modèles sur la toile. Son commerce vivote et l’artiste vit dans la misère. Misère augmentée d’un profond désarroi devant l’extraordinaire Vasilitch, qu’il sait capable d’ajouter la vie éternelle à ses sujets mais dont il n’arrive pas à reproduire l’effet. Et puis un jour, tout (...)