De grands et beaux dessins inachevés, quelques mots simples : Géraldine Stringer choisit la modestie pour évoquer le destin des réfugiés qu’elle a pu rencontrer dans un lieu de paix et d’accueil. Une présence discrète et un regard empathique face au drame humain et humanitaire qui se joue quotidiennement.
Depuis longtemps, mais encore plus depuis 2011 et les « Printemps arabes », des hommes et des femmes de tous âges et de toutes conditions ont cherché hors de leur pays un refuge. Vivre simplement, (...)