Son père a été le premier assistant d’Hergé et il devait travailler avec lui sur « Tintin et l’Alph’Art », son parrain n’était rien de moins que Willy Vandersteen, le tycoon de la bande dessinée flamande. Avec un tel atavisme, Johan De Moor devait suivre la voie toute tracée dans le métier. Voire. Après des débuts dans les pas de son père, c’est surtout dans le dessin d’humour et dans un style plus proche de celui de Gilbert Shelton que d’Hergé que Johan De Moor a laissé son empreinte dans la bande dessinée. (...)