Le tandem Juan Dìaz Canales et Rubén Pellejero a fait ses preuves sur la reprise de Corto Maltese, perpétuant l’œuvre d’Hugo Pratt dans le respect et la continuité. Mais dans ce dernier album, le duo espagnol fait mieux : non seulement, il affirme son autorité, livrant un album graphiquement et scénaristiquement impeccable qui n’est pas inféodé au modèle, mais il perpétue davantage encore le mystère et la fascination qu’exerce le héros en le plongeant dans une thématique fondatrice de l’œuvre du (...)