Cela faisait vingt ans que Stuf et Janry ironisaient sur l’au-delà avec sa double perspective : le paradis et l’enfer, se moquant de la mort dans le staccato d’un rire sardonique. Pas toujours d’une façon politiquement correcte, genre « T’as de beaux saints, tu sais ! » et autres « flammes fatales ». Sauf qu’à force de jouer les trompe-la-mort et les Walking Dead pour rire, on est rattrapé par le vide sidéral. Je vous explique. Cet album a pour titre : « Juste ciel ! ». Juste ? Pas sûr…
Stuf, alias (...)