C’était un génie des échecs, peut-être le plus grand de tous les temps. Il contribua à faire de ce jeu un sport d’importance mondiale, améliorant singulièrement la condition financière des joueurs professionnels. Un cerveau à nul autre pareil, mais qui sombra dans le délire conspirationniste et antisémite, au point de finir sa vie comme un paria errant par le monde (Hongrie, Allemagne, Suisse, Japon, Indonésie, Argentine…), pour échouer en Islande, dans la misère et dans l’oubli.
Ceux qui connaissent et (...)