Comme expliqué précédemment, l’exposition Fleurs qui ne se fanent pas constitue un passage incontournable du festival.
Elle traite des "femmes de réconfort", ainsi nommait-on les jeunes filles coréennes et d’autres pays d’Asie, victimes d’abus de la part de soldats japonais durant la Seconde Guerre mondiale.
Outre que son sujet ne laisse pas indifférent, y compris une dizaine d’extrémistes nippons qui auraient manifesté leur opposition à sa tenue à Angoulême jeudi 30 janvier 2014, cette exposition vaut particulièrement pour ses qualités plastiques.
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Photos (c) : F. Rubis
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