Le président du Tribunal des Enfants de Bobigny, M. Jean-Pierre Rozenczveig, par ailleurs le directeur de la section française de Défense des enfants international, une ONG créée en 1979 afin de contribuer à l’écriture de la convention des Droits da l’enfant n’a pas apprécié le travail fait par les éditions Albert René, nous rapporte le journal Le Monde. Il reproche à l’album, pourtant réalisé par la créatrice du Samu Social et aujourd’hui « Défenseure des enfants » chargée par la France de veiller à l’application de la Convention internationale des Droits de l’enfant et à les faire connaître à tout le monde, Madame Dominique Versini, d’avoir « une vision gauloise des droits de l’enfant qui ignore la réalité interculturelle de la société française ».
Nous, il nous avait pas semblé que soit le cas. Nous avons trouvé au contraire cette action plutôt sympathique, sans y penser à mal, Astérix étant depuis toujours une référence de l’antiracisme. Toutes ces considérations nous semblent plutôt relever du débat de spécialiste.
DP
La page d’Astérix, ambassadeur des enfants .
L’album des droits de l’enfant en ligne (Cliquez le coin supérieur droit de l’album qui apparaît une fois que vous avez cliqué sur le lien).
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Débat de spécialistes ? Malheureusement cela prouve que la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant est trop méconnue pour que tout un chacun puisse appréhender l’écart entre ce texte révolutionnaire de 1989 et la vision qui en est donnée aux enfants dans l’album proposé par la Défenseure (voir version complète de la Convention sur le site de DEI-France indiqué ci-joint, rubrique "la CIDE").
Car ce n’est pas tant le choix du personnage d’Astérix, effectivement sympathique et populaire, qui pose problème, que le côté réducteur de cet album, qui traduit bien mal la Convention, dans sa lettre et son esprit. Pour mieux comprendre, je vous recommande de consulter le communiqué de presse de DEI-France sur son site (indiqué en référence).
17 ans que la France a ratifié la Convention internationale des droits de l’enfant... Et pourtant, qui la connaît ? Sa promotion auprès des enfants eux-mêmes est nécessaire pour qu’ils s’en saisissent et fassent progresser leurs droits. L’initiative de la Défenseure était louable à cet égard. Encore fallait-il que la traduction adaptée pour les enfants en soit la plus fidèle possible.
Voir en ligne : Site de la section française de DEI (Défense des Enfants International)
Débat de spécialistes ? Malheureusement cela prouve que la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant est trop méconnue pour que tout un chacun puisse appréhender l’écart entre ce texte révolutionnaire de 1989 et la vision qui en est donnée aux enfants dans l’album proposé par la Défenseure (voir version complète de la Convention sur le site de DEI-France indiqué ci-joint, rubrique "la CIDE").
Qu’il y ait des écarts, cela nous semble normal. Il s’agit d’un album pour enfant comparé à un texte juridique. Pouvez-vous nous donner des exemples concrets de trahison du propos original.
17 ans que la France a ratifié la Convention internationale des droits de l’enfant... Et pourtant, qui la connaît ?
Grâce à Astérix, en tout cas, nous en avons entendu parler.
Encore fallait-il que la traduction adaptée pour les enfants en soit la plus fidèle possible.
Encore une fois, nous aimerions que vous argumentiez faute de quoi, ce sera "un débat de spécialistes" appuyé sur des arguments d’autorité.
Pou que nos lecteurs puissent éventuellement faire eux-mêmes une étude comparée, je vous donne le lien
de
DROIT DES ENFANTS INTERNATIONAL - FRANCE
Les liens ne passent pas automatiquement dans les forums de Spip.
Assez surpris de l’émergence d’un tel débat autour de l’utilisation d’Asterix pour une noble cause, vu les valeurs positives que véhicule également le personnage, je me suis plongé attentivement dans la lecture du petit livre, et des différents communiqués de l’association qui s’en plaint...
D’ou je ressors pour mon compte :
que la principale plainte du communiqué comme de l’intervenante sur le forum porte sur la dénaturation de la convention des nations unies : le mot est fort, ne peut on considérer cela comme une simplification, objectif de tout ouvrage de vulgarisation comme vise évidemment à l’être un support illustré d’un héros aussi populaire ?
que ce qui semble surtout défriser les "plaignants" est la méconnaissance de cette convention, la ou ils pourraient se réjouir qu’elle puisse se diffuser grâce à l’image d’Astérix.
mais qu’en réalité leur combat est tout autre, bien plus politique et pernicieux, et n’a que peu à voir avec la protection de l’enfance qui est ici utilisée comme un commode paravent...
que les différents commentaires du communiqué m’apparaissent pour la plupart faux et très empreints de mauvaise foi (je donne des exmples en fin de texte, de ce qui est reproché et de ce qu’on trouve effectivement dans le livre - verbatim), et me feraient plutôt soupçonner une arrière pensée dissimulée derrière une pseudo-rationalité. Je ne prétends pas avoir compris quelle arrière pensée, mais les éléments que j’en ai compris sont nauséabonds, extrêmement politisés et amalgament droits de l’enfance, pseudo anti-racisme et dangeruese ségrégation sociale et raciale, voir ma fin de texte, donc.
que l’intervenante sur le site pose comme principe que ce n’est pas asterix "heros populaire" qui est en cause, la ou le communiqué nous parle du caractère "atypique" de la représentation familiale dans cette bande dessinée, de la violence, de la représentation tribale et hiérarchique qu’elle contient... bref, là encore, une analyse fouillée et reposant sur des "valeurs" d’un ouvrage destiné à faire rire. Je peux partager certains de ces constats, et faire certaines de ces analyses, mais elles me semblent ici déplacées.
Bref : le petit bouquin est très sympa, certes surement pas parfait, mais accessible à des enfants (ce n’est pas le but ?), et l’attaque m’apparait dénaturante, outrancière, et assez erratique même et surtout après lecture du communiqué censé détailler les points litigieux.
Et sur ce, je vais aller relire ma collec d’Asterix ;-))
Pour ceux qui en auraient encore le courage, ma tentative d’examen contradictoire des points reprochés à l’ouvrage :
reproche 1, modèle mal choisi pour défendre "une france multiculturelle aspirant à une coexistence pacifique des communautés" : passons sur l’outrance du reproche, adressé à un héros qui fédère des millions de gens de toutes races et cultures sur tous les continents depuis 40 ans, et contentons nous de remarquer que le petit livre rappelle clairement avec le droit 1 (page3) que l’on parle de tous les enfants, sans distinction d’origine, de langue, de race, de physique, etc... Quand cela est écrit et clair, pourquoi vouloir à tout prix prouver le contraire ? Page 10, chaque enfant doit pouvoir se réunir avec d’autres, exprimer son opinion, pratiquer sa religion, ce n’est pas "la france multiculturelle aspirant à la coexistence pacifique" ?
Si vous allez jusqu’à la fin de mon texte, vous verrez que ce reproche de ne pas contribuer à une france multiculturelle et pacifique sous-rend tout le texte, mais qu’appliqué comme il l’est ici, il dénature complètement ce discours et cet idéal...
reproche 2 : les droits présentés représenteraient plus les droits actuels garantis en France que les droits énoncés dans la convention internationale. Admettons. Je suis sur qu’on peut encore faire des progrès en France vers l’idéal, mais on me concèdera qu’on ne doit pas être dans les pays les plus mal classés. Partant, l’objectif du petit livre semble bien de s’assurer que déjà ces droits "de base" (peut être) soient une réalité pour tous les enfants vivant en france...On rappelle en préambule que toute société doit donner à l’enfant ce qu’elle a de meilleur, ce n’est pas assez idéal ?
reproche 3 : l’application de la convention serait présentée dans le petit livre "comme dépendant de la modification des lois françaises", quel contresens de lecture et quel mauvais procès, la ou le petit livre dit en préambule que les pays signataires "doivent pour cela changer certaines de leurs propres lois", tirant ainsi pleinement les conséquences de l’obligation qui s’applique aux états : il est bien dit que ce sont les lis françaises qui dépendent de la convention, littéralement.
reproche 4 (vous avez de la chance, j’ai du temps au bureau aujourd’hui ;-)) : allez, je passe sur celui ci, on peut effectivement lire le verbe "l’état peut" comme une tentative de l’état de se défiler, ou bien, en aussi bon français, on peut le lire comme une formulation douce de la même chose "l’état se réserve le droit de". Bof... on est dans un niveau d’argutie juridique dont sont bien incapables ceux à qui s’adresse l’ouvrage.
reproche 5 : les droits, au nombre de 54, sont réduits ici à 12. Vous avez déjà essayé de faire lire à un enfant, et même à un ado, 54 articles d’un texte de loi de l’ONU ? Faites moi rire. On cause de vulgarisation, mais on reproche à l’ouvrage d’affadir... Vous avez raison, on aurait du faire plancher des sciences po sur un commentaire de texte... (un peu ce que je suis en train de faire, en fait, avec le communiqué : c’est c****t à lire, hein ;-))))
reproche 6 : le communiqué dit "l’enfant dont on parle semble ne jamais dépasser le CM2" "alors que l’enfant est juridiquement mineur jusqu’à 18 ans", le livre dit, en toutes lettres page 3, que "la définition de l’enfance, c’est de ne pas avoir l’age de la majorité, 18 ans en France" : comme le communiqué, en fait, alors il est ou le problème ? Par aileurs, la cible du livre semble être effectivement plus jeune que les 16-18 ans, alors qu’a de choquante l’adptation de langage pour mieux plaire à une cible CM2 ???
reproche 7 : la différence entre "un enfant présenté exclusivement comme un être en devenir doté d’un trésor inné à cultiver" versus "doté d’une potentialité de trésor à concrétiser" relève de la haute philosophie. Merci pour le débat sur l’inné et l’acquis, merci de nous rappeler gentiment les connotations idéologiques qu’il peut prendre, mais vous croyez vraiement que c’est clef pour la cible du livre ? Surtout que le communiqué va jusqu’à considérer que finalement c’est honteux "on ne considère pas l’enfant comme un être humain déjà titulaire des mêmes droits que les autres" : eh, patate, si c’était si simple, on n’avait qu’à rester à la convention des droits de l’homme, on n’avait pas besoin de cette convention (méconnue ;-)) sur les enfants ! Celle la est écrite pour justement mettre en avant les spécificités et les fragilités de l’enfant, et c’est exactement ce que rappelle le livre. Encore une fois, quel mauvais procès !!
reproche 8 : le communiqué dit "les opinions de l’enfant sont prises en considération (...) et c’est un élément primordial de la décision des adultes" Le livre dit : l’enfant doit être entendu avant que les parents ne prennent une décision. Ah oui, c’est vrai, il manque "primordial" : ouh la la que c’est différent...Surtout quand le livre ajoute "lorsqu’une décision est prise à propos de sa vie, l’enfant qui n’est plus un bébé a le droit de donner son avis".
De plus, la ou le livre dit que, en cas de séparation, l’enfant n’est pas obligé de prendre parti en s’exprimant(page10), le communiqué transforme en affirmant qu’on souhaite le culpabiliser s’il s’exprime... On dit juste qu’il a le choix, le faire ou non : ca fait aussi partie de ses droits, de savoir ca et de choisir de se taire éventuellement ? Et quel est ce retournement nauséabond de sens que fait le communiqué ??
reproche 9 : le communiqué dit qu’on n’insiste pas sur la "considération primordiale de l’intérêt supérieur de l’enfant", le livre dit qu’on doit prendre les décisions "dans l’intérêt supérieur de l’enfant" : différence ??
reproche 10 : le communiqué dit que la convention promeut "la diversité des expressions culturelles et les solidarités inter territoriales" et que le livre "ignore les droits collectifs" des enfants au bénéfice d’un modèle tribal. D’abord, cette formulation de la convention me semble incompréhensible par des enfants, justement. Ensuite le livre, dans son adaptation, rappelle toute la/les diversité(s) de l’enfance (ne serait ce que page 3, en détail) et néanmoins l’identité des droits. Sur les droits collectifs "oubliés", le livre dit (page 10) que chaque enfant a le droit "de s’informer, de se réunir avec d’autres, d’exprimer son opinion ou de pratiquer sa religion", ca ne doit pas être assez collectif, tout ca. Ca existe, le collectif sans se réunir ?
Quant au modèle tribal, l’usage d’asterix a ses limites, et la france a évolué depuis, mais dans l’ensemble notre république semble se reconnaitre encore assez bien, en souriant, dans le miroir du petit village gaulois... Mais l’auteur du communiqué n’a peut être jamais lu la bande dessinée d’ou vient l’extrait ;-) ???
reproche 11 (mon dieu qu’il y en a) : "aucun lien avec le metissage a minima au sein de l’union à 27"
nous dit le communiqué : déjà, j’ai mis du temps à comprendre la phrase !?!, mais de plus le communiqué, formel, conclut que "la défiance à l’égard de l’union européenne affleure" !!! On hallucine devant l’extrapolation. Si l’auteur avait lu asterix chez les helvetes, il y trouverait, de facon beaucoup plus claire et directe, une critique amusée de l’ONU : ca devrait amener de l’eau a son moulin : asterix est contre l’onu, donc contre la convention des droits de l’enfant de l’ONU, CQFD !! Et l’auteur poursuit que "l’experience diversifiée des collectivités locales n’a pas inspiré le scénario" : ciel, de quoi parle t-on, la : des droits de l’enfant, de l’union européenne ou des réformes inabouties de la décentralisation française. Quel meli-melo !! Quand a "l’appauvrissement du capital d’experiences locales", il me semblait que le petit gaulois etait un promoteur vivant des particularismes locaux, à travers tous ses périples, mais bon...
reproche 12 : agecanonix arrete une bagarre, on saute allegrement a la conclusion qu"il n’y a "pas d’espace social et public pour l’enfant". Encore un peu, asterix a inspiré tout le programme de sarkozy, les caméras de sécurité a neuilly et l’abaissement du seuil de majorité pénale... Que de sous-entendus, de conclusions rapides, de démagogie..."La formation à l’exercice de la citoyenneté n’est pas esquissée" nous dit-on : le livre dit qu’il faut aider et éduquer l’enfant pour qu’il devienne (page 13) "libre et responsable à son tour". A mon avis Jaurès n’aurait pas renié cette définition de l’accès à la citoyenneté, mais "l’esquisse" ne doit pas être assez claire...
reproche 13 : admettons que le terme de condamnation puisse être mal compris (chouete, enfin un point d’accord avec le communiqué). Ce serait faire abstraction de la partie la plus importante de la phrase "qui sera adaptée à son âge etc...". C’est bien ça, non, le message de la convention ? L’adaptation de la justice a l’âge de l’enfant ? Parce qu’on ne sait plus à ce stade ce que veut défendre le communiqué...
reproche 14 : voir point 12, on veut faire de l’enfant un citoyen "libre et responsable" dans le livre, alors prétendre dans le communiqué qu’on oublie "une éducation émancipatrice"... je vais regarder mon dico, peut être que libre et émancipé ne veulent pas dire pareil, surtout en CM2... Quant à s’appuyer sur la légende de la bulle qui dit "en rang je vous pries" pour y voir de l’autoritarisme, c’est, encore, ne pas avoir lu la rose et le glaive et ne pas connaitre maestria, mais plus grave, c’est ne pas comprendre l’humour tout court...
reproche 15 : d’accord sur le constat de base (deux points !), réduire le soin de l’enfant à l’obésité est très réducteur. Mais il y a tellement d’endroits ou le livret rappelle la nécessité de "nourrie soigner aider protéger" (préambule, page 2) l’enfant que le procès est mauvais.
reproche 16 : passons vite sur la critique de l’univers d’asteirx et obelix et ses "représentations de genre stéréotypées", disons seulement que c’est rigolo : le communiqué accuse à la fois la BD d’être trop "famille", et trop "déviante de la ligne", faut savoir... Rappelons seulement que le livre rappelle bien, droit 2 page 4, l’infine diversité que peut présenter la cellule familaile. Non, le vrai reproche, on le sent bien, c’est que l’état n’examine pas "les demandes de réunification familiale dans un esprit d’humanité". Il se trouve que ce combat, je le partage, mais foutre, qu’on m’explique ce qu’un plaidoyer pour les politiques de regroupement familial (avec bien sur "la tolérance pour la diversité culturelle" et "les solidarités inter-territoriales" citées plus haut point 10, donc en gros, soyons clair, à destination des familles immigrées) viennent foutre dans le combat pour la connaissance de la convention de l’ONU sur les droits de l’enfant. Et même si on veyt mener ce combat la (je suis pour, l’ai je dit), qu’on ne vienne pas pour autant dénigrer une bonne initiative de vulgarisation en bande dessinée. Surtout si on finit par en arriver a dire, je caricature à peine, qu’Asterix est le symbole de la France racialement blanche et supérieure qui refuse de changer et de s’admettre : la représentation de l’époque gauloise se prête assez peu à la diversité raciale. Et si en plus arrêter une bagarre devient repréhensible car on brime "les enfants trublions et questionneurs", on frise la caricature de délit de sale gueule. J’ai toujours eu la réputation d’être trublion et questionneur, mes carnets de classe sont la pour en attester. Je me suis meme foutu sur la gueule avec des potes. Et on m’a toujours appris qu’il etait normal qu’un adulte intervienne pour arrêter tout ca. Mais la description de ces jeunes privés d’espace social dans le ciommuniqué resemble un peu trop à celle des pauvres opprimés à cagoule qui n’ont comme distraction dans cette société qui les rejette que de bruler des voitures...
reproche 17 : "il n’est pas dit clairement que les parents sont les premiers garants des droits de leur enfant" dit le communiqué, qui plus haut affirmait qu’on ne disait pas assez que l’état devait intervenir... La liberté de manoeuvre entre ces deux extrêmes est assez mince : autorité parentale ou substitution de l’état ? Point 17 ou points 2, 3, 4 ? En fait, en lisant l’ensemble, on s’aperçoit surtout que ce qui est attendu de l’état c’est de l’argent pour les familles en situation difficile. Ca peut etre une position, respectable meme, mais elle prend ici des détours curieux et cachés qui la rendent.. trouble. Par ailleurs le point est bien sur faux, le livre afirmant (droit 2 page 4 et droit 8 page 10 l’importance et la primauté de la famille, voire le devoir de l’adulte de prendre des décisions pour l’enfant (qui était critiqué plus haut, mais passons : la famille doit avoir l’autorité parentale vis à vis de l’état, c’est le vrai combat du communiqué, elle ne saurait être obligée d’appliquer cela véritablement vis à vis des enfants, sinon ils ne pourraient plus être trublions... galimatias, encore, mais en mettant les morceaux bout à bout, on comprend bien la pensée derrière. Et je n’aime pas...)
reproche 18 : on en revient au manque de corrdnation avec les collectivités locales, que j’ai vraiment du mal à situer dans le tableau, mais si désormais pour toute brochure pédagogique il faut consulter tous les acteurs d’un secteur, je crois que tous les imprimeurs vont faire faillite le temps que les décisions se prennent... Le plus clait, c’est la référence à "l’éducation populaire", qui nous ramène bien à une idéologie du même type que celle qui transparait dans d’autres point ci-dessus... Et quel jargon... de la dialectique standard de parti, très mal digérée et desservie par un discours confus...
reproche 19, et le croiriez vous j’en aurai fini : T’as raison, coco, plante le clou final... La machin est mal fait, tout est mauvais et à refaire. Après tout, ce n’est que la conséquence logique de tes arguments ci-dessus. Le problème est qu’ils sont faux, et orientés...