Le gentil Kérel partait favori pour la présidentielle française. Le fielleux Murville récupère le fanion après une révélation gênante. Tapi dans ses appartements élyséens, le venimeux Montfaure se remet à y croire, surtout en jouant les miraculés, après une nouvelle tentative d’attentat. Mais gentil Kérel n’a pas dit son dernier mot. Il rameute ses troupes (sportifs, sains, gais, aventuriers, etc.) et ni une ni deux, monte une conférence sur... la protection de la mer.
A chaque volume d’Elysée République, une idée fracassante du fringant Kérel. Un scénario toujours aussi lourdingue, des dialogues assommants... Et dire que ce tome 4 clôt le premier cycle... Vous l’aurez compris, un second menace !
DT
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Lire également les chroniques du tome 1 et du tome 3
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