CHIEN-LOUP. Attention le revoilà avec sa bonne volonté et son culot, malgré une carrure des plus modestes : Taïga doit encore batailler avec moult adversaires pour en sortir vivant. Mais il n’est pas seul, désormais accompagné de la superbe Tiari. Ensemble, ils vont se coltiner des loups et des sapiens. Et la délicieuse amazone de convaincre sa tribu que Taïga est du bon côté...
Guère de surprise mais la trame sentimentale arrive à petits pas pour ouvrir une intrigue secondaire appétissante, surtout quand on a vu la demoiselle plonger dans l’eau topless (et le pauvre Taïga qui s’exclame "quelle beauté pure et chaste..." : on se croirait dans Okapi). Comme d’habitude, la leçon de bio-préhistoire se glisse entre les cases. Le chien descend du loup, mais oui. Le craquant louveteau recueilli par nos deux héros joue les éclaireurs et l’appendice de fin vous dira tout. Tiens, n’oublions pas non pus que Kouji Mouri ne travaille pas seul : pas moins de 3 dessinateurs pour l’épauler, nommés seulement après la dernière planche. Ils ont bien droit de cité : Ryôta Iguchi, Yui Kanda et Shun Fujita.
Traduction : Satoko Fujimoto
DT
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