L’argument ressemble pas mal à celui du premier cycle d’IR$, Les nazis et l’or juif, sauf qu’ici, l’or en question n’est pas planqué en Suisse, mais au fond des mers.
Et il s’agit de celui d’une triade chinoise détroussée au moment du "viol" ou de "l’incident" de Nankin, au moment où l’armée japonaise envahit la Mandchourie.
Larry B. Max est doublement pris au piège : celui d’un chantage perpétré à son encontre par l’hydre chinoise et celui de l’amour. Les péripéties ne manquent pas avant qu’à la fin de l’épisode, notre limier du fisc ne devienne aussi riche que... Largo Winch !
Le scénariste Stephen Desberg est toujours aussi habile, tandis que son dessinateur, Bernard Vrancken s’avère toujours aussi instable, comme s’il n’avait pas fixé son graphisme une fois pour toute. Après 14 albums, il serait temps pourtant.
DP
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