Ras-la-casquette de Détective Conan ! Une fois encore, la SNCF a montré, à l’occasion de la 20e édition de la Japan Expo, la nullité de son management et sa légèreté dans le traitement de sa clientèle. Hier soir, nous étions quelques rédacteurs d’ActuaBD à partir un peu plus tôt, vers 17h00, histoire de prendre le temps d’écrire quelques chroniques qui vous racontent les incroyables aventures que nous avons vécues toute la journée à l’occasion de cette 20e édition-anniversaire.
Et puis là, patratras ! Ce qui devait s’avérer une retraite bien sage a tourné en calvaire à cause de la SNCF. Cela avait commencé dès le matin. L’application du Transilien résumait la situation avec ce mot : « Trafic perturbé ». Tu l’as dit, bouffi ! on l’avait constaté. Mais cela avait fini par s’arranger… Ouf ?
Hé non, le soir, rebelotte, sauf que cette fois, les minutes se prolongèrent. Face à nous une marée de migrants, des pikachus trempés de sueur, des Super Mario super-énervés faisant des bonds de colère, des elfes fulminants proférant des formules maléfiques, des Kira prêts à inscrire les responsables du trafic de la SNCF sur le carnet noir de Death Note…
La fine équipe partie à 17 heures arriva finalement à 21 heures chez elle pour éviter le statut de sardines finissant en limaces dégoulinantes. Ce n’était pas un train que nous avions pris, mais une galère !
Le 20e anniversaire de la Japan Expo devait être une fête. Elle a été proprement gâchée. Merci qui ? Merci la SNCF !
DP
Photos : D. Pasamonik (L’Agence BD)
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