Une date, un moment d’histoire, et surtout un virage imprévu. C’est le principe de la série Jour J, qui depuis 11 tomes propose des uchronies en piochant dans les grands événements connus de tous.
Pécau et Calvez s’intéressent ici à la Révolution Française : 1795 et une armée monarchique revancharde menée par Marie-antoinette. Dans ce postulat, on découvre un Danton à double face et un jeune futur roi (Louis XVII) aussi insupportable qu’avide de pouvoir absolu.
Ce souverain arrogant constitue l’élément le plus réussi de La Nuit des Tuileries qui, pour le reste, a du mal à surprendre vraiment. Tant et tant d’albums, réalistes ou non, ont traité de cette période...
DT
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