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La pornographie à l’index au pays du hentaï

14 janvier 2004 Commenter
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Un éditeur japonais vient d’être condamné pour pornographie. Jugement extrêmement surprenant au pays de la manga, les mœurs locales étant très libérales au sujet de la nudité ; seule la présence de pilosité sur un sexe était jugée offensante. D’où la présence régulière d’organes génitaux dans City Hunter voire de viols collectifs dans Urotsukidoji. Qu’une manga soit couverte d’opprobre car consacrée exclusivement d’« actes sexuels flagrants et dépeints avec force détails » est étonnant, dans un pays où le hentaï, la manga ouvertement pornographique, se vend par millions.

L’éditeur a été condamné pour distribution de publications obscènes à un an de prison avec sursis. Celui-ci fera appel, arguant que l’article du code pénal incriminé, interdisant la publication et la vente de pornographie, est contraire au principe constitutionnel de la libre expression.

XMD

Voir en ligne : Source AFP

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