La fin du monde pourrait arriver en cette année 1666... Et Baldassare continue à courir après l’ouvrage tant convoité : Le centième nom. Une fois de plus, des voyages, des rencontres aux saveurs contrastées, entre Londres, Paris, Gênes... Sans oublier les choix à trancher, et puis l’amour, à nouveau possible.
Les aquarelles de Joël Alessandra, attirées par le rouge et le bleu de cette fin de cycle, donnent toujours un style aussi sensible à ce récit de quête culturelle et sentimentale. La finesse du propos pâtit tout de même de narratifs un peu envahissants (adaptation oblige...) et d’un style parfois un peu soporifique. Des choix assumés depuis le premier opus.
DT
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lire aussi les chroniques des deux premiers tomes :
Le centième nom
Un ciel sans étoiles
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