Est-ce le rythme infernal de deux P’tits Diables par an (sans compter le Grippy) qui provoque ce sentiment de lassitude ou de redite dès le début de ce vingtième tome ? Les disputes entre frère et sœur tombent à plat, et l’arrivée de l’hiver jette un froid... jusqu’à ce que Les P’tits Diables s’impliquent dans les questions climatiques !
Après ce réchauffement d’atmosphère, l’inspiration revient à Olivier Dutto qui non seulement réintroduit les parents dans le jeu de quilles, mais surtout imagine une romance pour Microbe ! Voilà qui bouscule la donne, et ce tome 20 se conclut sur un exemple de lettre de St-Valentin dont Dutto a le secret.
L’opiniâtreté des fidèles lecteurs à dépasser les dix premières pages se révèle donc payante, mais ce seuil d’alerte nous permet de nous demander si le best-seller jeunesse de Soleil pourra encore longtemps tenir la qualité à ce rythme d’enfer ?!?
CLD
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