Midam lance sa MAD Boutik

Alors que le Panik Room, le douzième tome de Kid Paddle, sort aujourd’hui en librairie (nous y reviendrons dans quelques jours), la maison d’édition créée par Midam et ses associés vient de lancer une boutique en ligne.

Les fans peuvent y acquérir des gadgets, des pièces uniques ou des livres dédicacés.

Lien vers la MAD Boutik.

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Midam lance sa MAD Boutik
25 août 2011 01:40, par bravo

40 euros l’album avec une dédicace, en couleur et un message personnalisé. Soit exactement la même chose que ce que font des centaines d’auteurs bénévolement chaque WE dans les festivals. MDR
enfin pourquoi pas, réflexion faite. voilà un auteur qui, avec cet acte, affirme : marre des dédicaces gratuites. marre des dessins gratuits.

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Répondu par JL le 25 août 2011 à 14:15 :

De mon côté je suis absolument POUR rémunérer un certain type de dédicaces ! Signature GRATUITE mais dessin PAYANT ! Il faut arrêter de prendre les auteurs pour des vaches à lait !

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- Répondu par bravo le 25 août 2011 à 14:26 :
  
  il parait que les séances de dédicaces n’aident pas à faire vendre un album. Je suis quand même sceptique. Si un auteur fait 10 festivals et qu’il en dédicace 40 à chaque festival, ça fait quand même 400 à l’arrivée non ? Si dans le commerce il s’est vendu 3500 ex, ça fait au total près de 4000, ce qui peut inciter un éditeur à continuer une série. Non ? sans compter les dédicaces aussi dans les librairies, à ajouter.
  
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  Répondu le 25 août 2011 à 21:57 :
  
  Pas terrible votre calcul : un festival, 3 jours minimum (voyage aller-retour et séjour sur les lieux). 10 festivals : un mois de boulot. 20% sur 40 bouquins (votre chiffre) à un prix de, disons 20e- 160e pour un mois de travail ! L’auteur a intérêt à se confiner dans sa chambre d’hôtel pour ne pas faire exploser son budget entre les signatures.
  
  Les festivals permettent aux auteurs de se rencontrer, de lier aussi des liens professionnels -ce qu’on appelle aujourd’hui le "networking". L’issue économique de participer à un festival n’est jamais mesurable par avance -mon calcul étant une caricature de votre prémisse. Les retombées sont hasardeuses -car il s’agit de relations humaines avant tout. Le festival ne devrait jamais être une obligation à approcher en termes économiques, mais en capital humain.
  
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  Répondu le 25 août 2011 à 22:08 :
  
  Oups ! À vouloir faire le malin... J’ai oublié un zéro, n’est-ce-pas ? Même, c’est pas une fortune. Et ce n’est pas là l’intérêt des festivals.
  
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  Répondu par bravo le 25 août 2011 à 23:16 :
  
  je ne voyais pas vraiment ça en termes financiers directs, mais en terme "quantité" : 400 albums vendus en plus grâce aux dédicaces, c’est l’éditeur qui pourrait se dire "tiens y’en avait déjà 3500 de vendus, maintenant près de 4000, bon bin on va continuer la série".
  
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