Les faits : Ayant déposé la marque Mobilix en 1997, Orange avait été traduit en justice par les éditions Albert-René en constestation d’une marque qui ressemblait aux patronymes des personnages de René Goscinny et Albert Uderzo.
La cour de justice de la communauté européenne a débouté en appel la demande des ayant-droits, déjà rejetée une première fois en première instance en 2005.
Le Tribunal a considéré qu’il n’y avait aucune confusion possible entre la marque Mobilix et le nom d’Obélix.
La cause est entendue : Albert René ne pourra pas indéfiniment porter plainte contre « -ix »
DP
Cet article reste la propriété de son auteur et ne peut être reproduit sans son autorisation.