Ca doit être l’âge. Ou bien ma méconnaissance des jeux vidéo ou du site internet qui a semble-t-il lancé ce héros tout en finesse : Stevostin.
Soit les tribulations délirantes d’une sorte de monstre goguenard et pataud dans toute sorte de milieux. Mais j’en ai déjà trop dit. Cet album (?) tombe des mains au bout de dix pages. Pas de scénario, juste quelques jeux de mots qui pèsent une tonne, des tronches sorties d’une table de cours de maths d’un redoublant de seconde, et des couleurs qui varient du beige au marron clair.
Quant aux décors, ils s’avèrent inexistants. Pourquoi en effet s’évertuer à soigner le graphisme avec un texte aussi brillant...
Il est possible que les amateurs de "culture" des jeux vidéo se dérident en parcourant ce tome 1. Mais l’édition en album de ce défoulement inepte me laisse perplexe.
(par David TAUGIS)
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