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Fables T6 : « Cruelles Saisons » - Par B.Willingham & M.Buckingham – Panini Comics

Par Mathieu Drouot le 28 décembre 2008                      Lien  
Un nouvel album une fois encore des plus réjouissants pour cette série séduisante. Les auteurs nous y dévoilent une partie du passé de Bigby Wolf pendant la Seconde Guerre mondiale, avant de se concentrer sur une année de chamboulements dans la communauté de Fableville.

Publiée depuis 2002, cette série met en scène les personnages des contes et légendes les plus connus. S’identifiant sous le nom de « Fables », ils ont été contraints de quitter leur univers attaqué par un mystérieux ennemi, « l’Adversaire ». Après avoir parcouru notre monde, ils ont formé une communauté clandestine à New York City nommée « Fableville ». Les fables à l’aspect inhumain ne pouvant vivre parmi les hommes, demeurent dans « la ferme » un peu plus haut dans l’état de New York.

Voici donc la base de cette série qui s’amuse à faire vivre de nouvelles aventures à des personnages comme le grand méchant loup (Bigby Wolf, pas si méchant que ça et shérif de Fableville) Blanche Neige (adjointe au maire de Fableville), Cendrillon, la Belle aux bois dormant ou le Prince charmant (ex-époux des trois dernières et ambitieux candidat à la mairie).
Fables T6 : « Cruelles Saisons » - Par B.Willingham & M.Buckingham – Panini Comics

Cet album, nous amène donc à Paris suivre une échappée libertine de Cendrillon, puis en Allemagne où Bigby, au cours d’une mission secrète, affronte la créature de Frankenstein et une armée de nazis avant de se concentrer sur New York City et les derniers évènements de la communauté des fables.

Les élections opposant le roi Cole (maire depuis toujours de Fableville) au prince Charmant sont sur le point d’aboutir tandis que Blanche Neige et Bigby s’apprêtent à être les parents d’enfants … surprenants.

Ces deux évènements et leurs conséquences sont ainsi étalés au fil des quatre saisons de l’année par Bill Willingham et Mark Buckingham avec finesse et humour. Créant une multitude de nouvelles intrigues qui se développeront ou non, ils plongent le lecteur dans leur univers réellement enchanté. On prend un plaisir enfantin à côtoyer les personnages qui ont peuplé l’imaginaire de notre jeunesse et à les voir confronté à un quotidien fait de fantastique et d’ordinaire.

(par Mathieu Drouot)

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3 Messages :
  • Hors-sujet
    25 janvier 2009 00:16, par Alex

    Cher modérateur, je m’excuse d’occuper cet espace mais je tiens à répondre à un message de Pincemi paru à la nouvelle de la mort de Mr Moliterni. Ne voulant pas interférer avec mon sujet auprès des gens qui l’ont réellement connu et sont en peine je choisis ce moyen de m’exprimer.

    Pincemi, nous l’avons déjà constaté... nous avons fréquenté les mêmes festivals de bd à la même époque. A la Mutu en 79(?), nous étions sûrement coude à coude. Puisque je me souviens aussi à mes yeux ébahis de l’intervention des membres du Krapo Baveux (ne faites pas semblant de ne pas vous rappeler le nom svp). Vous oubliez néanmoins de témoigner que ces troublions (armés de mous de veau) en avaient particulièrement après Métal. Et du pugilat qui s’en suivit avec Manoeuvre. Et, tiens donc, qq mois plus tard les voilà tous en train de bosser aux Humanos !

    Et attendez, ce n’est pas fini : des années plus tard, dans des locaux légendaires, nous partagions un pur malt avec ces punks (pas néo svp, tenez-vous au courant, néo-punk c’est des 90’s à maintenant). Qui voit-on surgir ? Moliterni ! Acceuili comme il se doit comme le Pape de la Bd.

    Pincemi, votre sèrieux vous étouffe. Vous défendez un château de sable fait avec votre petit seau d’enfant. Le flux et le reflux, ça vous passe au-dessus de la tête : vous continuez à donner des coups de pied dans les vagues.

    Vous savez-quoi ? Vous êtes un vieux ronchon.

    Répondre à ce message

    • Répondu par François Pincemi le 25 janvier 2009 à  14:03 :

      Qu’il s’agissait d’une mise en scène ? De mémoire (je n’ai pas acheté un seul Krapo...), seul Pierre Ouin rallia Métal, donc ce n’est pas la majorité du journal underground. Et on peut penser que ses histoires de rockers punks aient plu à Manoeuvre (même si c’est bien moins drole que Margerin, hélas...). Vous faites allusion à des evenements que je ne connais pas (je ne suis pas parisien, je ne monte à la capitale que pour les grandes occasions). Le fait que Ouin ait sympathisé plus tard avec Moliterni (si c’est ce que vous voulez dire) ne prouve rien. Vous avez sous les yeux un président de droite qui a ralliè bien des anciens hommes de gauche. Ils ont simplement changé d’avis, ou ils ont trouvé un terrain d’entente. Le contexte évolue, seuls les imbéciles ne changent jamais d’avis, vous devriez le savoir.

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      • Répondu par Alex le 27 janvier 2009 à  00:14 :

        "seul Pierre Ouin rallia Métal, donc ce n’est pas la majorité du journal underground."

        ...et Max (Perramon), et Benito (en collaboration avec Max -couleurs et décors). Les fondateurs du Krapo du coup...

        "De mémoire (je n’ai pas acheté un seul Krapo...)"

        O...k. Résumons : vous n’avez pas acheté leur magazine, vous ne connaissez pas leur parcours professionnel mais vous savez au moins qu’ils étaient tatoués sous leur cuir (grâce à votre super-vision). Un vague soupçon de "fumette" par-dessus et voilà le secret de votre sauce...

        "Qu’il s’agissait d’une mise en scène ?"

        C’est bien cette tournure d’esprit qui vous caractérise, vous ne voyez que complots et conjurations. Alors que mon message témoignait d’une ouverture d’esprit somme toute très commune chez des gens de bords différents mais partageant la même passion.

        Comme à votre habitude vous squattez tous les sujets possibles pour mener votre croisade d’arrière-garde. Et cette fois vous venez de vous en prendre à des gens que je connais personnellement. Je suis plus qu’irrité que tout le travail que fait Max depuis bientôt 30 ans soit balayé d’un coup de main par les vagues assertions à 2 balles d’un bougon.

        "Le contexte évolue, seuls les imbéciles ne changent jamais d’avis"

        Encore une belle promesse de début d’année...

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