Il y découvre un lot d’habits qu’il s’amuse à endosser aussitôt. Sans doute pris au jeu par cette étrange ambiance, il va sur le devant de la scène avant de fuir face aux invectives d’un metteur en scène. Ill faut dire qu’il vient de perturber la représentation théâtrale… Il rencontre alors un ours, enfermé dans une cage qu’il s’empresse de libérer. Les deux amis partent découvrir la ville…
Les cases aérées et parfois en pleine page, de Gregory Rogers apportent beaucoup de dynamisme à cette histoire qui est avant tout destinée à un public enfantin. Le récit est à l’image de la thématique de l’album : simple, fluide, étonnant de vitalité. Le graphisme de Gregory Rogers va à l’essentiel. Un bémol cependant : son trait est malheureusement servi par des couleurs un peu ternes.
(par Nicolas Anspach)
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