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Merlin, La quête de l’épée - T2 : La Forteresse de Kunjir - par Istin, Demare et Cordurie - Soleil

Par Olivier Wurlod le 20 décembre 2007                      Lien  
Avec {Merlin: La Quête de l'Épée}, spin off de la série mère {Merlin}, Jean-Luc Istin fait un bond dans le temps est raconte comment son personnage fétiche s'est chargé de créer l'épée magique du futur roi de Bretagne.

Dans ce deuxième tome La Forteresse de Kunjir, Merlin, toujours accompagné de la charmante Dame d’Avalon Ana et du grognon Nain Ethé, a pour quête de forger la célèbre épée du futur Roi de Bretagne. Pour ce faire, Merlin a besoin de lave de dragon, le plus solide métal existant qui ne se trouve que dans l’autre monde. Là-bas, Merlin n’y a pas conservé que des amis suite à la mort de sa mère Ahès (lire la série mère : Merlin de Jean-Luc Istin et Éric Lambert). Parmi ceux qui veulent sa mort se trouve le mage Iweret, seigneur et maître de la Tour des Songes. Cela n’empêche pas notre héros, accompagné de ses deux compagnons ainsi que de la charmante elfe Lyadriel, de partir pour cette destination hostile et de gravir les cimes des Kandors où se trouvent les derniers dragons. Sur leur chemin se trouve Kunjir, majestueuse cité fortifiée du Roi Eolwyth du clan des Danann, alors assiégé par une puissante armée de Formorii (sorte de trolls). Merlin décide de s’y rendre d’abord pour venir en aide au roi, mais certains imprévus vont modifier ses desseins.

Plusieurs critiques peuvent être émises à l’encontre de cette série. La première est qu’il nous manque quelques pièces du puzzle, puisque ce récit se déroule quelques années après celle de sa série mère Merlin, dont l’histoire n’est toujours pas terminée (huit tomes sont parus sur les dix annoncés). Ensuite, l’univers proposé ici est un vrai copier-coller d’un univers à la Tolkien. Mais ces critiques perdent une partie de leur virulence confrontées à l’habileté scénaristique de Jean-Luc Istin qui arrive à nous surprendre. La conclusion de ce second tome est des plus inattendues. Les réserves perdent aussi leur pertinence face aux magnifiques planches que nous propose Nicolas Demare.

Alors finalement, on ne peut qu’apprécier ce spin-off et se réjouir du fait que Jean-Luc Istin continue à approfondir avec un certain brio la biographie de son personnage fétiche.

(par Olivier Wurlod)

Cet article reste la propriété de son auteur et ne peut être reproduit sans son autorisation.

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