L’héroïne, restauratrice d’œuvres d’art, vient d’emménager dans un vieux manoir. La localité, Salem, est malheureusement sous l’emprise d’un tueur en série. Celui-ci mutile atrocement ses victimes, signant son œuvre d’un « Griffin Dark » en lettres de sang.
Perdita Queen a rêvé d’un meurtre la nuit précédente. Quelle n’est pas sa surprise en découvrant que son cauchemar s’est réalisé vraiment. Ses visions la reprennent quand elle croise un « témoin ». Perdita Queen ne tardera pas à découvrir que les choses dans cette ville se passent bizarrement depuis près de 300 ans !
(par Nicolas Anspach)
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Le style graphique de Didier Crisse se prête bien à ce type d’histoire. La sensibilité de son trait permet de mieux nous attacher à son héroïne. Il manie avec dextérité les contraintes du polar fantastique et nous offre dès ce premier tome un univers d’une grande complexité.