Une fois n’est pas coutume, le tome six propose une histoire en trois parties, qui avait d’ailleurs été annoncée et préparée au tome précédent via l’achat de maillots de bain. En effet, notre cher duo, accompagné par un autre presque-couple, passe une journée de détente dans un parc aquatique.
Les taquineries de Takagi sont évidemment de la partie, et c’est même plus fort que tout pour la jeune fille qui rate l’occasion de se conforter à une légende romantique du coin : le plaisir de faire tourner en bourrique Nishikata l’emporte finalement sur toute autre considération.
Dans ces épisodes, nous avons d’ailleurs moins de défis, même si un lancer de caillou est présent, plus quelques autres jeux dans le tome sept. Takagi profite surtout de la moindre occasion pour exploiter la gêne de son camarade et flirter avec lui. Celui-ci faisant tout son possible, sans grand succès, pour paraître de marbre.
Ce n’est pas un grand mystère : Takagi est amoureuse de Nishikata, qui est le véritable vainqueur d’un jeu dont il n’a pas conscience. Et lorsqu’il arrête de voir Takagi comme son "ennemi juré", et se montre un brin attentionné avec elle, notre petit démon a du mal à cacher sa joie et son sourire qui lui monte jusqu’aux oreilles.
Dans tous les cas nous continuons de beaucoup rigoler avec ces jeux d’enfants, innocents et tendres, à l’indéniable parfum de nostalgie et de candeur, et qui font du bien.
(par Guillaume Boutet)
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Quand Takagi me taquine T6 & T7. Par Soichiro Yamamoto. Traduction Thibaud Desbief. nobi nobi, collection "Shônen". Sortie le 12 août 2020 & le 7 octobre 2020. 160 pages. 7,20 euros.
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Quand Takagi me taquine sur ActuaBD :
La chronique du tome 1
La chronique des tomes 2 & 3
La chronique des tomes 4 & 5