Une grande épreuve attend la jeune et jolie Nika : le voyage scolaire aux sources chaudes. Car si il s’apparente à détente et plaisirs pour la majorité des élèves, il s’agit surtout pour la lycéenne de cacher son mode « off ». Et pour couronner le tout, le week-end se transforme en stage de survie avec épreuve physique et intellectuelle.
On retrouve aussi la mère d’Arata qui souhaite renouer le contact avec son fils, toute la famille Tamiya réunie pour un buffet à volonté et quelques images du passé de Nika et Arata.
Le côté « off » de l’héroïne est toujours aussi dégoûtant et les anecdotes de la mangaka sont parois pires. Mais au-delà de ça, humour et révélation sont les maîtres-mots de ces deux volumes. On découvre pourquoi Arata en est venu à détester sa mère et on revient sur ce qui a motivé la naissance de la Switch Girl Nika. L’auteur nous propose aussi l’histoire originale dans un chapitre bonus, ce qui est toujours intéressant à découvrir.
Ces deux volumes sont très émouvants et très romantiques mais ils donnent aussi l’impression d’être arrivé au bout. Le nouveau personnage introduit à la fin du tome 4 permettra peut-être une évolution mais ne suffira pas à remonter le niveau général. Switch Girl est un shojo assez sympathique mais sans plus.
(par Stéphanie Francqueville)
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