A cela s’ajoute l’apport de personnages nouveaux : amis (Simon Elenstein, Ernst Roeyen, Katherina Weinbeck…) et ennemis (notamment le maléfique Adji Guiniev). Complot planétaire, nouvelles donnes géopolitiques, complicités entre gouvernements et mafia, le scénario est cousu à la corde à western, ce qui ne nous étonne pas de la part de l’auteur de Durango, même si, dans cette épisode, on voit poindre une touche de fantastique. Le dessin de Griffo se signale, lui aussi, par une efficacité redoutable. On y croit, on vibre, on se laisse finalement entraîner dans l’aventure.
(par Didier Pasamonik (L’Agence BD))
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