Idéalement formaté pour le FPS ( First Person Shooter ou « tir à la première personne ») le gameplay fait se réveiller le joueur sur une plage, seul et amnésique. Comme dans la BD, l’énigmatique chiffre XIII est tatoué sur votre sterno-clédo-mastoïde. Dans la poche, la clef d’un coffre d’une grande banque new-yorkaise. Sur votre chemin, amis et ennemis (lesquels sont-ils ? Bon, si vous avez lu la BD, vous savez un peu), lesquels vous font progresser dans l’aventure.
Développé à partir du moteur du jeu Unreal II, un FPS assez bluffant bien que très classique, le dessin fait appel au « cell-shading », un trait avec une mise en couleur en à-plats, comme dans les BD, de même qu’à l’utilisation d’onomatopées et du fenêtrage (comme dans « 24 Heures Chrono »). Le jeu essaye de mettre tous les atouts de son côté. C’est nécessaire, car les jeux développés sous licence, comme Astérix ou Tintin, sont souvent décriés par les gamers
On peut tester quelques séquences sur le site dédié de Wanadoo
(par Didier Pasamonik (L’Agence BD))
Cet article reste la propriété de son auteur et ne peut être reproduit sans son autorisation.