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Le coup de blues de l’édition indépendante
15 décembre 2010
par xavier lowenthal
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"Ou bien on arrête le complexe de la littérature et des beaux-arts et on crée une BD, une vraie, qui ne doit rien à personne. Comme Franquin, comme Kurtzmann, comme Alan Moore, comme Reiser..."
je doute que franquin ou kurtzmann ou moore ou reiser ne doivent rien à personne.
la reconnaissance, ce n’est pas de la déférence, précisé-je.
il n’y a pas de complexe dans la reconnaissance. il y en a dans la vénération peut-être. faire de l’Oubapo, ce n’est pas vénérer le lionnais ou queneau, c’est les connaître et les rendre (...)
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