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Art Spiegelman, Grand Prix 2011 du Festival d’Angoulême
31 janvier 2011
par ishimou
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Vous avez raison sur Spiegelman, comme vous avez aussi raison d’en parler au passé.
Aujourd’hui, la glorification de l’intime et de la banalité, Les impostures d’un nouveau clergé graphique, son cortège de discours péremptoires. Je lui dirais des mots creux, des mots qu’on dit avec les boeufs. Bientôt dans votre assiette "Contemporanéité !", ou alors ce refrain entendu plein de fois,"Il n’y a rien à comprendre, l’artiste nous questionne".
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