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TEX - Le Trésor de la mine - Par Nizzi et Ortiz - Clair de Lune

21 juillet 2011 par Didier Pasamonik (L’Agence BD)
  • Je suis d’accord avec vous que l’on peut parler d’école hispanique, voire hispano-lusophone, dans la mesure où non seulement les auteurs ont pas mal circulé entre l’Italie, l’Espagne, l’Argentine, le Brésil, le Portugal et la France (Munoz ou Pratt, par exemple) mais aussi parce qu’elle a produit une BD caractéristique qui peut rivaliser avec les principales autres écoles mondiales (Japonaise, US, Franco-belge) tant en terme de diffusion que d’influence.
    Ce sont sur ces deux derniers critères que l’on peut, il me semble, mesurer l’importance d’une école.
    Pour le reste, "BD chrétienne" ou "BD (...)

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