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DIDIER PASAMONIK : Bastien Vivès et les infortunés de la vertu

2 décembre 2011 par Brian Addav
  • Et inversement. La liberté, d’expression, ou autre, n’est pas infinie. Elle se heurte toujours à celle des autres.
    Et on a le droit d’être choqué par la représentation d’un acte sexuel incluant un enfant dans une œuvre. Surtout quand le lecteur n’est en aucun cas prévenu de cette éventualité. (ce qui est très légèrement différent du cas Baudoin où c’est le propos du bouquin, même si cela peut aussi choquer).
    Vivès a le droit de représenter ce qu’il veut dans ses œuvres. Mais il a des responsabilités aussi.
    La question n’est pas de savoir ce que d’autres ont fait avant, et encore moins de se justifier par eux, (...)

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