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Assassination Classroom chez Kana : les dessous d’une licence.

16 juillet 2013 par Didier Pasamonik (L’Agence BD)
  • j’entrevois volontiers les éditeurs japonais comme de puissants industriels qui considèrent les ouvrages comme autant de lignes de business et n’ont que faire des éditeurs français dans la lutte qu’ils se livrent à l’échelle de la planète.
    Vous fonctionnez par clichés. Rien de vérifié. Vous "entrevoyez" mais vous ne voyez rien.
    En revanche, vous êtes prompt à dénoncer la complaisance des journalistes, manquant de courage pour affronter la réalité, alors que vous même, vous vous réfugiez lâchement dans l’anonymat.
    Dans les éditeurs japonais, il y a les petits qui tirent le diable par la queue comme tout un (...)

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