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Hugues Dayez : « Tout le monde a toujours dit : « Tillieux, c’est le Michel Audiard de la BD », pour moi ce n’est pas vrai et j’explique pourquoi. »

9 mars 2014 par Frederic Niffle
  • Si vous regardez l’album classique, vous constaterez que tous les suspenses de fin de pages sont fichus en l’air. En effet, lors de la prépublication dans SPIROU, le suspense tombait à la fin des planches paires et il fallait attendre une semaine pour connaître la suite. Il suffit de regarder la planche 38 qui tombe sur une page de gauche dans l’album pour se rendre compte de l’absurdité de la chose. Mais c’est pareil pour les planches 6, 8, 14, 16, 22, 28…) Les auteurs de l’époque concevaient leurs histoires pour le journal, pas pour les albums qui étaient secondaires. Dans la collection 50/60, on (...)

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