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Jacques Martin, par-delà le Styx

9 novembre 2015 par Didier Pasamonik (L’Agence BD)
  • Et si ces séries commerciales nourrissaient de façon régulière un secteur, des auteurs, des libraires de façon à ce que ces derniers puissent consacrer du temps et du budget aux BD qu’ils aiment, à recruter de nouveaux lecteurs auprès des ingénus qui poussent la porte pour le nouvel Astérix ou le nouveau Blake et Mortimer ? Tout ne repose pas seulement sur une seule patte. C’est le dynamisme de tous qui donne de l’énergie à un secteur. Vous imaginez Angoulême rien qu’avec la bulle des éditeurs alternatifs ? Ça n’irait pas très loin. Je trouve plutôt bien qu’on assure la tambouille avec des classiques et (...)

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