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Bruno Maïorana : « La BD me manquera jusqu’à la fin de ma vie. »

16 décembre 2015 par MD
  • Cela n’a rien à voir, il ne faisait pas d’albums, il publiait dans la presse quotidienne ou dans le supplément du dimanche, et ses pages ou strips étaient achetés par des centaines de journaux aux Etats-Unis. A l’époque, c’était la voie royale, il n’y avait pas d’albums aux States, et les comics s’adressaient aux gamins. Donc des auteurs comme Eisner, Foster, Raymond ou Caniff avaient le temps de soigner leur travail.

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