Un commentaire ?

Le roman graphique, symbole de la gentrification de la BD ? (1/3)

13 mai 2020
  • D’accord avec vous sur le côté BD du roman-graphique, mais ce genre induit une pression supplémentaire sur les auteurs ; la pression du délai de plus en plus court s’accroît ce qui oblige à bâcler le dessin, les livres se vendent plus chers mais les auteurs sont encore plus pauvres et acceptent de plus en plus d’être payé 6000 euros brut pour du 200 pages. De plus, le vocable "roman-graphique" est devenu une sorte de sésame pour publier tout et n’importe quoi. C’est quoi la prochaine étape, comme dans l’auto-édition, il faudra travailler sans sans à-valoirs... les différentes saillies du SNE c’est de dire (...)

Qui êtes-vous ?
Votre message (Modération a priori)

Derniers Commentaires