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Le roman graphique, symbole de la gentrification de la BD ? (2/3)

2 mai 2020
  • En effet, dans un format franco-belge il y avait un prix à la planche, à la page de scénario, à la colorisation, avec un statut d’auteur plus important. Avec l’arrivée du roman-graphique, le statut d’auteur vole en éclat, car on rémunère le travail sous la forme d’un forfait qui englobe le tout. Forfait vu à la baisse, bien entendu. Le cas de l’autrice Laurel (voir son blog) en est le plus flagrant exemple. Il ne faut donc pas s’étonner d’une baisse sensible de la qualité avec le roman-graphique. L’emballage est cher, mais la manoeuvre pour conserver des marges commerciales, est bien là. Par le passé, le (...)

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