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Le roman graphique, symbole de la gentrification de la BD ? (2/3)

3 mai 2020 par kyle william
  • Concrètement les éditeurs proposent généralement de rétribuer le dessinateur d’un roman graphique avec une somme moindre ou au mieux équivalente à celle autrefois proposée pour un 46 pages. Si vous devez dessiner 100 ou 150 pages pour le prix de 46 et que vous ne voulez pas vivre très en dessous du SMIC, vous êtes amené à modifier votre dessin pour aller plus vite. Avec une réussite plus ou moins grande. De là provient l’impression que le roman graphique est parfois un produit bâclé. Quant à la gentrification, le terme est peut-être mal choisi, mais il signifie simplement qu’on ne s’adresse pas au même (...)

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