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Borja González ("Nuit couleur larme") : « L’atmosphère est le véritable protagoniste de mes bandes dessinées »

10 août 2021
  • Les personnages n’ont pas de visages mais s’expriment avec leurs corps.
    Ils n’ont pas de visages et leurs mains n’ont pas de doigts.
    Cet effacement du visage m’avait déjà intrigué (il y a une quinzaine d’années) dans des bandes dessinées de Rupert et Mulot, de Bastien Vivès, Fabcaro voire chez Aude Picault (où deux points pour les yeux et un trait pour la bouche suffisent très souvent). D’autres auteurs de la même génération ont opté pour ce choix graphique.
    Deux points une bouche, c’est iconique, on peut se projeter facilement (playmobil) mais plus de visage, on ne peut plus se projeter. Le lecteur devient (...)

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