"Flic à la PJ" : la jolie réussite d’un récit policier signé Corbeyran

• Le public n’a pas d’éducation à recevoir. Le public s’informe, fréquente les musés, les galeries d’art, se sert d’Internet pour parfaire sa connaissance, rencontre des artistes partout où cela est possible. Le public est beaucoup plus imprégné d’images que vous ne le pensez. Quant au petits détails qui fourmillent dans les cases, il y en a dans tous les genres de la BD. Je ne pense pas que les auteurs s’amusent à mettre du détail juste pour en donner pour "leur argent" au public. Votre analyse est (...)