Un commentaire ?

Junk Food - Par Émilie Gleason et Arthur Croque - Éd. Casterman

13 mars 2023
  • Je n’ai jamais dit que c’était du niveau de Guy Pellaert, simplement que c’était le même esprit psychédélique dans la mise en couleur. Effectivement, ça ressemble aussi à ce que faisait Tito Topin à l’époque. A noter que l’hommage de Blain à Pellaert était assez mal fichu, vite fait mal fait, comme tout ce qu’il fait. Précisons aussi que pour dire qu’il n’y a "rien à sauver" dans une BD, il faut quand même l’avoir lue.

Qui êtes-vous ?
Votre message (Modération a priori)

Derniers Commentaires