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Bruce Morgan : « Je m’auto-censure ».

14 juin 2007 par Fred Boot
  • Raconter l’histoire d’une femme ayant le fantasme de se faire violer : pourquoi pas.
    Raconter l’histoire d’une femme prenant plaisir à se faire violer : a priori cela participe au fantasme d’un lectorat plutôt masculin. Cela ne fait pas d’eux des violeurs en puissance, on l’a compris (enfin j’espère).
    Dire que le fantasme du viol est répandu chez les femmes : bien possible. Mais la mise en pratique, lorsqu’elle a lieu (et ce n’est pas forcément la finalité du fantasme que d’être réalisé), prend généralement la forme de jeux consentant : c’est la scénarisation du vrai-faux viol qui accomplit ce fantasme et (...)

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